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 "Une vie de bohème", vous dites ?

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Crystal L. Almeida
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Crystal L. Almeida


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MessageSujet: "Une vie de bohème", vous dites ?   "Une vie de bohème", vous dites ? Icon_minitimeLun 26 Mar - 15:07




"Une vie de bohème", vous dites ? Tumblr_m1hbcdEmoe1rsxnh2o1_500
© TUMBLR
Almeida, Crystal Lana

Elle souriait aux passants, loin d'imaginer tout ce qu'ils pensaient de ses chaussures abimées

GOLDEN OPTIMISTIC GOLDEN REALISTIC GOLDEN PESSIMISTIC
PRÉNOM(S) ▽ Crystal Lana
SURNOM(S) ▽ Crys', Blondie
DATE DE NAISSANCE ▽ 19 juillet
AGE ▽ 21 ans
SITUATION ▽ Célibataire
ORIENTATION SEXUELLE ▽ Hétérosexuelle
MÉTIER/ÉTUDE ▽ multi-job, a arrêté ses études de droit
CARACTÈRE ▽ affectueuse - naïve - curieuse - indépendante - modeste - rancunière - gracieuse - impatiente - délurée - têtue
AVATAR ▽ Ashley Benson
Tous les matins, elle s'achète un cappuccino et un muffin caramel-noix de pecan au petit café au coin de la rue. - Quand elle monte des escaliers, elle compte les marches. - La miss a peur des chats. - Elle est très superstitieuse (les miroirs brisés et la mal chance, le sel par dessus l'épaules et compagnie...) - Elle a toujours un bouquin dans son sac. C'est toujours le même, non pas parce qu'elle ne l'a pas encore fini mais simplement parce qu'elle l'adore : Orgueil et préjugés. - Elle adore cuisiner avec sa grand-mère. - Elle ne paie jamais son ticket de bus. - Elle se débrouille toujours pour récupérer les programmes des plus grands ballets de danse classique en représentation dans la ville. Sa mère lui a offert une petite ballerine en argent, qu'elle porte autour du coup et dont elle ne peut pas se séparer.
FLASH BACK
« Les garçons... C'est nul ! - Tu ne diras pas toujours ça ma chérie... » -répliqua ma mère d'une voix douce, tout en passant sa main dans mes cheveux blonds, m'adressant un ravissant et tendre sourire. Voir sa petite chérie déclarer si spontanément et franchement que la gent masculine de son âge ne valait pas grand chose la faisait forcément sourire, puisqu'elle se doutait déjà que plus tard il en serait autrement, et qu'elle allait courir après ces messieurs ! Si les garçons étaient si « nuls » c'était parce qu'ils n'avaient rien trouvé de plus amusant que le fait de tirer sur mes nattes, avec un sourire de petit diablotin. « Ils sont méchants... - Promet-moi que tu seras gentille avec le petit Pedro. Je dépanne sa mère ce soir, il dort à la maison. - J'suis obligée ? Bon ok... Je serais sage. » Je haussai les épaules, bien résolue à faire un effort pour elle. Je ne pouvais pas lui dire non, comme si sa voix chantante, avec cet accent typiquement hispanique avait raison de mon comportement de petite chipie, m'apaisant et me rendant aussi douce qu'un agneau. Et puis je savais qu'Adrianna ferait en sorte que je me tienne à carreau. Ma grande sœur faisait souvent sa lèche botte auprès des parents... Tss ! Sur le chemin de la maison, ayant terminé ma journée d'école, je racontais à maman ce que j'avais fait, sans oublier l'épisode des nattes ! Je savourais la petite brioche en guise de goûté, sans regarder où je mettais les pieds puisque ces derniers n'avaient nullement besoin de moi pour prendre la bonne direction ; je connaissais le chemin de la maison par cœur. « J'te jure... Les garçon... C'est archi-méga-nul ! Je n'aurais jamais d'amoureux ! - Oh... Et si je veux des petits enfants ? Je vais faire comment ? - Bah désolé... T'en auras pas, parce que... - Oui, je sais. Les garçons, c'est nul ! » Bah c'est qu'elle comprenait vite !
FIN FLASH BACK

J'ai toujours eu un caractère bien trempé. Déjà, petite, je ne me laissais pas marcher sur les pieds. Hors de question d'avoir la place de victime, qu'importe la situation. On m'avait toujours dit qu'il fallait chercher le bonheur, le poursuivre et s'en saisir. Mais ne pas l'attendre, car il ne viendrait peut-être jamais. Petite fille, je me voyais déjà menant une belle vie bien remplie. Insouciante et rêveuse, j'avais écouté tout ce qu'on avait bien voulu me dire. Puis j'ai grandit, et je me suis rendue compte que ça n'était pas si simple. Oui, il fallait courir après le bonheur. Mais il fallait se battre et tenir un rythme bien soutenu dans cette quête ! Sinon... T'étais mal barré ! Des galères, j'en ai eu un paquet ! Dès mon plus jeune âge, j'ai dû redoubler d'efforts pour obtenir de bons résultats scolaires. En effet, j'avais de grosses difficultés à l'école pour cause de dyslexie. Je me trouvais nulle et j'avais très peu confiance en moi. La maladie de ma mère n'a rien arrangé à cela. Encore trop naïve, j'ai longtemps cru qu'elle s'en sortirais alors que mes proches vivaient dans la crainte de devoir m'annoncer sa mort. Ils savaient tous que cela arriverait tôt ou tard... J'avais 12 ans lorsqu'elle est décédée. D'elle, je n'ai pas grand chose... Des souvenirs, un pendentif et le portrait si doux que peut encore me faire ma grand-mère lorsqu'elle me parle d'elle. Beaucoup de choses ont changé à partir de ce jour. Certes, nous nous sommes tous soutenus dans notre deuil. Les liens familiaux s'en sont resserrés. Mais moi, j'avais le sentiment d'étouffer. Adrianna avait très rapidement pris la relève me concernant, veillant sur moi comme l'avait fait ma mère de son vivant. Elle n'a jamais cessé de s'occuper de moi. Devenant parfois un peu envahissante d'ailleurs... Mais peu importe... Ce n'est pas grave, c'est ma sœur. Et je l'aime. Il faut dire que je n'ai pas eu l'adolescence la plus calme qui soit. Normal qu'elle soit sur mon dos. Toujours en vadrouilles, mon père et ma grand-mère avaient de quoi s'inquiéter.

FLASH BACK
« C'est à cette heure-là que tu rentres ? » Je sursautais en passant le seuil de la porte. Grillée. « J'ai dit à papa d'aller se coucher, il était mort d'inquiétude... » Retirant mes chaussures sans la moindre once de délicatesse puisque je faisais désormais face à ma sœur ainée, je haussais les épaules. Elle alluma la lumière, comme l'aurait fait un agent secret venant de piéger un criminel, le prenant la main dans le sac. « Oh ça va, y'a pas mort d'homme... Je suis presque majeure maintenant, c'est bon. » Je la fixais, avec ce même sourire qui restait collé à mes lèvres depuis une bonne heure déjà. Il ne passa pas inaperçu aux yeux d'Adrianna, qui ne manqua pas de m'interroger à ce sujet. « C'est quoi ce sourire niais ? - Quel sourire ? - Prend-moi pour une débile Lana. » ''Lana''... Oh, oh ! Ca sentait mauvais pour moi, elle était énervée. « Où t'étais ? - Chez Andrew. » Un léger blanc ponctua notre échange. Jusqu'à ce qu'elle établisse une étrange connexion entre le prénom de mon petit ami, l'heure et mon sourire. « C'est pas vrai ?! » Je fis mine de ne pas comprendre, mais j'avais saisi qu'elle venait de me griller. Rien qu'à voir la tête qu'elle tirait. Et puis, il s'agissait d'Adrianna. Elle pouvait lire en moi comme dans une livre ouvert. « Vous l'avez fait ?! Crys' ! Mais il est... - Plus âgé, et alors ? Je sais ce que tu penses, et ça change rien pour moi. Tu le connais, tu sais comment il est... - Je pensais que tu voulais... - Attendre ? Je me sentais prête. Et il a été doux... » Je faisais de mon mieux pour la rassurer. A tel point, que la conversation dura une bonne partie de la nuit. Elle savait qu'Andrew était un mec bien. Sans quoi elle aurait déjà tout fait pour que je m'en sépare. La surprise de me savoir à présent « femme » l'avait un peu chamboulé. Néanmoins, la confiance que je lui accordais me permis de me confier à elle et d'apaiser les tensions. Je n'ai pas échappé aux remontrances de mon père, mais j'avais le silence de mon aînée.
FIN FLASH BACK

Ça n'a pas duré avec Andrew... Et j'en ai beaucoup souffert. Le temps à cependant eu raison de mes blessures sentimentales et désormais c'est un de mes plus proches et fidèles amis. C'est un des seuls mecs que j'autorise à venir à la maison. On rigole bien et il reste quelqu'un d'important, au-delà du fait qu'il ait été ma première fois. Cette relation m'a fait avancé et j'ai appris à relativiser. Je vois les choses avec beaucoup plus de nuances. Rien n'est tout blanc ou noir. Je perçois le bon comme le mauvais. Et comme chacun d'entre nous, je suis faite des deux. Aujourd'hui, je travaille dur pour aider ma famille. J’enchaîne les petits boulots, et vis au jour le jour. Ayant peu de moyens, j'ai fait le choix de stopper mes études, refusant de voir mes proches se priver pour payer les frais de scolarité. Je préfère voir cet argent investit dans la réussite de ma sœur. Bien évidemment, ils n'en savent rien. Ils pensent que chaque matin, je me pose mon petit derrière sur les bancs de la fac et que j'étudie le droit. Je n'ai pas eu le courage de leur dire que j'avais arrêté. Pour conserver ma crédibilité, je prétends aller travailler à la bibliothèque alors qu'en réalité je suis de service dans une quelconque réception, ou je promène le chien d'une bourgeoise de la zone ouest. J'étais souvent confrontée à ce genre de personnes... Me rappelant que je faisais partie d'un autre monde. Heureusement, il y avait du beau monde -humainement parlant- du côté de chez moi...

FLASH BACK
Un regard en coin et discret, par-dessus les étagères du rayon que parcourait Alessandro, sans trop faire attention aux articles présentés. Il semblait ailleurs... Il me faisait rire. Il avait beau être un parfait inconnu, j'appréciais le temps passé en sa compagnie. Quelques textos avaient suffit pour que j'accepte de le revoir. Et regardez où nous en étions... Voilà dix bonnes minutes qu’on se baladait dans cette boutique de farces et attrapes, finissant par nous retrouver l’un en face de l’autre, séparé par une double étagère, plus petites que nous. Alessandro se pencha, et récupéra alors au bas du meuble un jouet que les enfants adorent et que les parents apprécient moins généralement : un pistolet à eau. Et il s’agissait du modèle d’exposition en plus de ça ! Il fixa l’objet, puis son regard se posa sur moi, et il laissa se dessiner au coin de ses fines lèvres un léger sourire. « Je paris que tu as toujours rêvé d’en avoir un comme celui-la ! –lançais-je d’une voix taquine. –Tu crois qu’il fonctionne ? - On va voir ça ! » – répliqua-t-il en appuyant sur la gâchette. Un jet d’eau s’en échappa, mouillant alors mon visage et m'arrachant un petit cri de surprise. Alessandro se figea, et laissa un rire franc franchir le seuil de ses lèvres. Je devais faire une de ces têtes ! Il n’avait pas pu s’en empêcher.... « Je… Je suis désolée… -reprit-il entre deux éclats de rire. - Tu vas voir toi ! - Non mais… Qu’est-ce que tu vas faire ? –demanda-t-il, faussement inquiet, en me voyant faire le tour. Son sourire ne quittait pas son joli visage, aux traits fins. - Tu ne paies rien pour attendre ! » Oh ! Mais c’est que je faisais presque peur ! Le jeune homme ne perdit pas de temps pour filer, prenant la direction opposée à la mienne, gardant précieusement son arme en main. Ça pouvait toujours servir après tout ! On tourna un petit moment ainsi dans les rayons, se faisant très vite remarquer. Malheureusement pour lui, il fut désarmé. Pas de bol, pas vrai ? Je le fixais désormais, avec ce regard victorieux, vengeur. « Non… Tu ne vas pas oser… - Je vais me gêner, tiens ! - S’il te... plait. » Je venais de tirer, et l’eau s’avérait être assez froide... Alessandro regarda l’état de son t-shirt, désormais trempé, et releva les yeux pour croiser mon regard amusé. Non mais… Il allait riposter, sentant ce désir de vengeance se faire de plus en plus présent, ne cessant de croître et ce d’une manière incroyable. Mais il n’en eut pas le temps. La propriétaire du petit commerce venait de faire son apparition, à l’autre bout de la pièce, sortant tout juste de l’arrière boutique. Visiblement, elle n’était pas commode, et la plaisanterie ainsi que le jeu ne devait pas souvent la dérider et lui faire décrocher un sourire. Le comble quand on tient un tel magasin, non ? Alessandro la regarda, et constatant qu'elle s’apprêtait à les chasser, me retira le pistolet des mains et s'empara de la mienne pour m’entraîner vers la sortie. « Viens par là si tu veux qu’on s’en sorte indemne ! » -s’exclama-t-il en riant. On est donc sorti de la boutique, comme deux gosses qui venaient de se faire courser par la vieille voisine d’en face, après une énorme bêtise. Alessandro avait bien du mal à s’arrêter de rire. Il reprit peu à peu son souffle, ainsi que son sérieux, et passa devant moi. Le plus naturellement du monde, je pris appuis sur ses épaules et pris place sur son dos. Digne d’une enfant ? Mais non voyons… D’une feignante sûrement, mais je n’étais plus une enfant –en apparence et ça Alessandro n’avait pas manqué de le remarquer. « Aller… Pour te faire pardonner, tu vas m’offrir une glace ! » - lançais-je en me penchant à son oreille. Il accepta sas ronchonner, me décrochant un joli sourire innocent. Pour finir il eut droit à un léger baiser sur la joue... qui ne manqua pas de marquer son esprit.
FIN FLASH BACK

Sandro, il était comme moi. J'apprenais peu à peu à le connaitre, et j'avais l'impression d'avoir un type de mon quartier en face de moi, alors que je ne l'avais jamais croisé dans le coin auparavant. Je l'aimais bien... Et même beaucoup. J'étais loin de me douter qu'il n'était pas honnête avec moi. Il me mentait depuis le début... Sur tout ce qu'il était, ou presque.

"C'est la mère Michèle qui a perduuuu soooon chaaat !"... M'ouais ! Qu'est-ce que tu me racontes là ? Elle a 21 ans la mère Michèle ? Ah ouais... Et elle aime la glace au Vovomaltine ? Ok... Elle a créé ce forum ? Nan ?! Sérieux ?! Mais.... Aaaaah ! Il est où mon chat ?!

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Adrianna N. Almeida
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Adrianna N. Almeida


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MessageSujet: Re: "Une vie de bohème", vous dites ?   "Une vie de bohème", vous dites ? Icon_minitimeSam 31 Mar - 11:54

J'avais envie :gla: :

:coeu: :superman: :bave: :excited: :lov: :pc: :art: :drag: :prie: :lang: :luv: :bed:

Parce que j'te nem :lang: Et que c'est une petite merveille que tu nous as fait là :coeu: :coeu:
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