Oz'(zie) - "C'est dans le mensonge que la vérité commence."

Dias-Vicente, Alessandro Ozzie

« Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. »

GOLDEN OPTIMISTIC GOLDEN REALISTIC GOLDEN PESSIMISTIC

PRÉNOM(S) ▽ Alessandro Ozzie
SURNOM(S) ▽ Oz’ ou Ales’.
DATE DE NAISSANCE ▽ 18 juillet 1990
AGE ▽ 22 ans.
SITUATION ▽ Aisée.
ORIENTATION SEXUELLE ▽ Hétéro.
MÉTIER/ÉTUDE ▽ Marketing.
CARACTÈRE ▽ dynamique - distrait - charmeur - jaloux - loyal - insouciant - rusé - impulsif - taquin - excessif.
AVATAR ▽ Francisco Lachowski

Oz adore mettre ses mans dans ses poches ou alors passer une main dans ses cheveux, pour jouer le beau gosse ? Oui mais pas que ça, c'est un sorte de tic lorsqu'il est nerveux, tic qu'il a souvent en présence de la belle Crystal. Il aime rouler un peu trop vite lorsqu'il se retrouve dans sa Porsche et même si il y a limitation, tant qu'il y a de l'adrénaline, ça lui va ! Les sports extrêmes c'est son délire, il ne peut s'empêcher de faire des choses que peu de gens osent faire. Un peu trop à l'extrême pour ses parents, il ne tient pas compte toute fois de leurs avis. Il adore les fruits et pourraient en manger 10 fois par jours au lieu des 5 fruits et légumes hum.

Ozzie – Je pense avoir vraiment changé Mme Wildmore… Ozzie regardait par la fenêtre, il avait la vue sur la plage, qui en plein jour étaient encore plus bondés que d’habitude.
Psychologue – Tant mieux Ozzie, c’est là où nous devions aller. Retrouver tout ton esprit, ton innocence, ta jeunesse perdue à force de te droguer, de boire, de sortir avec des personnes peu fréquentables… Elle, sa psychologue attitrée, choisie avec soin par M. Vicente, le père d’Oz’, était assise sur sa chaise bien à elle, elle était rousse, une rousse au Brésil, vous en avez déjà vu ? Agée de la quarantaine, elle avait plus ou moins gardé sa jeunesse, elle avait une fine silhouette. Si on ne regardait pas son visage, on pourrait croire qu’elle avait la trentaine. Sauf que les quelques (beaucoup) rides en dessous de ses yeux faisaient que ce n’était pas le cas.
Ozzie – Oui… mon père avait raison. Reprendre le contrôle de ma vie, me ferait du bien… Je ne sais pas comment j’ai pu tomber dans cette démence… Il se tourna vers elle, avec un petit regard innocent.
Psychologue – Un moment d’égarement Ozzie et c’en est fini. Vous êtes pris par ce tourbillon qu’est la vie des jeunes de nos jours. Elle ne le regardait pas. Elle avait son petit calepin, bloc de feuilles dans lequel elle notait tout ce qui sortait de la bouche de son patient. Elle le voyait depuis maintenant quelques mois. Depuis que le fait de voir un psy était devenu à la mode pour les jeunes de nos jours.
Ozzie – Oui… peut-être… ou peut-être que c’était le destin ? Vous savez des choses qu’ils nous arrivent pour qu’on choisisse au final le bon chemin… Il revint s’asseoir après quelques minutes d’immobilité sur le long canapé que tout psychologue devait avoir dans son bureau. Il posa sa tête sur le coussin et s’allongea alors. Mais dans tous les cas, je pense que je me suis retrouvé. Je sais ce que je vaux et ce que je veux.
Psychologue – Je pense que nous en avons fini. C’est votre dernière séance maintenant que tout va bien pour vous. On aurait dit qu’elle avait hâte de se débarrasser de lui.
Ozzie – Je veux dire avant je m’amusais comme tous ces jeunes, je me droguais, je fumais, je buvais autant que je pouvais. Mais surtout je faisais souffrir les filles… Il passa un bras sous sa tête. Je me rappelle de Vlora, une jolie petite fille avec des cheveux brun bouclé. C’était peut-être la première fille que j’ai fait souffrir, elle était folle amoureuse de moi. On devait avoir 12 ans. Je lui ai descendu sa jupe et sa culotte devant tout le monde. Elle était devenue toute rouge. J’ai bien rit ce jour-là… Puis ensuite, il y a eu Ruby, une blonde a forte poitrine, on avait 12 ans également ou 13… je ne sais plus trop, tellement il y en a eu ! Bref et… Il continua comme ça, il savait que cela faisait chier sa psychologue de l’entendre parler pour la n-ième fois de ses « conquêtes ». Des filles qu’il a fait souffrir une par une et des autres avec qui il couchait jusqu’à il n’y a pas longtemps de temps en temps. Son père l’avait obligé à venir voir une psy, soit disant c’était mieux pour lui, bien sûr que le jeune Vicente aurait pu faire « objection » mais c’était tellement plus marrant comme ça. Il n’était encore jamais tomber amoureux d’une fille, faut croire qu’il n’était encore jamais tomber sur la bonne bien qu’il y avait une fille depuis peu qui lui faisait plus au moins tourné la tête. Il ne savait pas comment s’y prendre avec elle et s’était plus simple de mentir, ce qu’il faisait toujours en vrai sauf qu’avec elle, il n’avait pas l’impression de mentir mais d’être une autre personne. Comme s’il découvrait une nouvelle facette de sa personne. Il ne pouvait se décider à lui dire la vérité. Lui dire qu’il était qu’un con et gosse de riche pourraient la faire fuir, chose qu’il ne souhaitait pas du tout. Ca avait été plus facile de mentir… … Je pense qu’elle regrette toujours de m’avoir fait confiance pour sa première fois me trouvant trop charmant, beau, intelligent, tendre et doux. Et dire que maintenant sa première fois circule sur le net… La pauvre… Je regrette tellement d’avoir fait toutes ses choses…
Psychologue – Mh mh… Elle n’en pouvait plus de l’entendre répéter tout ça. Mais elle n’avait pas le choix, le père de Ozzie était un gros client de son mari. Elle se devait de « l’aider », elle ne pouvait le foutre à la porte et ce n’était pas l’envie qui lui manquait d’ailleurs. Elle détestait recevoir ces petits gosses de riches. Tel père tel fils, elle avait envie de crier à ce con. Le père de Ozzie était aussi timbré que son fils. Il ne faisait confiance qu’à lui-même, bien qu’il ne couche pas à droite et à gauche comme son fils bien que cela restait à prouver encore. Ce n’est pas pour son fils qu’il faisait cela, mais surtout pour sa réputation à lui. Si tout le monde apprenait que Ozzie faisait n’importe quoi, cela ruinerait la réputation de l’entreprise familiale surtout car ce devait être l’héritage que recevrait son fils et qu’il devra reprendre le flambeau. Ozzie se leva un peu et s’assit sur le canapé.
Ozzie – Je vous ennuie c’est ça ? Personne ne m’écoute… Il se leva. Je dirais à mon père que tout ceci ne servait à rien.
Psychologue – Non Ozzie ce n’est pas ça. S’il vous plaît asseyez-vous. Continuez. Elle n’avait d’autre choix que de le garder et de faire semblant de s’intéresser à ce qu’il lui racontait. C’est juste que je pars en voyage dans quelques heures pour environ un mois. Je dois être à l’aéroport dans une heure.
Ozzie – Bien, je ne ferais pas long. Il s’allongea à nouveau regardant le plafond. Quelle conne celle-là ! L’argent de nos jours faisait tout ! Oz n’a jamais manqué de rien, il a toujours eu ce qu’il désirait quand il le souhaitait. Cette histoire de psy était juste un prétexte pour son père de faire comme s’il portait encore la culotte à la maison alors que ça avait toujours été au bon vouloir du fils unique. Toujours aussi enfoiré avec les filles. Ce qui l’intéressait, c’était le sexe, les fêtes et les potes ! C’était tout ce qui comptait pour lui enfin sauf aussi sa meilleure amie. La seule qu’il n’a encore pas touché sans parler de Crystal bien sûr ! Mais avec elle, il était un tout autre jeune homme, il était protecteur, tendre, bien qu’ils se bourraient souvent la gueule tous les deux. Elle le connaissait depuis toujours, et leur amitié s’était faite naturellement, il ne laisserait aucun homme se foutre d’elle comme lui le faisait avec les autres filles. Bree. C’est une jeune femme que j’ai rencontré et que mon père à l’air de bien aimer. Il l’a d’ailleurs vu ce matin dans ma chambre. Et on doit dîner ensemble ce soir, tous les quatre avec maman. C’est une fille vraiment géniale ! Une fille de bonne famille. Je ne sais pas comment elle a pu tomber amoureuse de moi, surtout en connaissant ma réputation… Je crois que je suis en train de tomber amoureux d’elle. Elle me rend meilleur chaque jour qui passe… Il fit un petit sourire d’ange, de bonheur alors qu’il ne pensait qu’à une chose, à la fin de ce dîner ou il pourrait emmener Bree dans sa chambre, lui retirer cette robe qu’elle lui a dit qu’elle porterait ce soir, et de lui faire des choses que son père lui-même n’avait sûrement encore jamais faites. Bree était l’une des membres du groupe des fous. Comme il les appelait. Il en faisait partie, c’étaient tous des jeunes qui savaient juste profiter de la vie tant qu’ils le pouvaient ! Ils se droguaient, buvaient jusqu’à n’en plus pouvoir et savoir où ils étaient et baisaient à chaque coin de rue tous ce qu’ils pouvaient. Elle était loin d’être une fille de bonne famille mais son père les avait surpris le matin même au lit. Et ils avaient dû improviser à leur manière, elle s’était présenté comme la petite amie officielle de Ozzie. Elle l’avait bien sauvé ! Et heureusement qu’il n’était pas passé la nuit sinon… ce n’est pas vraiment ce qu’ils auraient pu faire. Car vu la position qu’ils avaient… bref ! Ozzie se s’assit à nouveau sur le canapé et porta son regard sur sa psychologue. Je me sens vraiment comblé avec elle… Surtout vu ce qu’elle lui avait fait la veille… Vous pensez qu’elle est parfaite pour moi et que je serais à la hauteur ?
Psychologue – Oui, je pense que vous avez retenu la leçon Ozzie. Elle… Elle fut interrompue par son téléphone qui sonna, elle se leva alors et pris le combiné. Allô ? … Oui… Faites la attendre deux minutes s’il vous plaît Jenny, je termine avec mon rendez-vous. Puis elle raccrocha et se tourna vers son patient avec un petit sourire. Donc je disais qu’elle a de la chance de vous avoir. Ce que vous avez fait c’est du passé à présent.
Ozzie – Merci Mme Wildmore ! Il lui fit un grand sourire tandis qu’il se levait et s’approchait d’elle. Je ne sais pas… c’est drôle de se dire qu’à une certaine période de ma vie, la chose la plus importante c’était le sexe… Je veux dire… Comme vous par exemple… Vous êtes une femme très séduisante… Vous avez des jambes divines… j’adorais les photographier… Il faisait son petit timide, avec une petite voix hésitante. Puis il se recula et s’appuya contre le bureau. Ca s’était moi avant, maintenant je suis guéri !
Psychologue – Je suis très fière de vous Ozzie ! Ozzie trouva une photo sur le bureau de sa psychologue et la pris dans sa mains.
Ozzie – C’est votre fille ?
Psychologue – Oui, c’est Rebecca.
Ozzie – Elle a l’air gentile…
Psychologue – Oui elle est super ! Très studieuse ! Exceptionnelle ! Tout lui réussit ! Elle ira étudier à Princeton aux Etats-Unis, cet automne. Elle avait un grand sourire aux lèvres en parlant de sa petite fille chérie.
Ozzie – Waw… C’est exactement le genre qu’il me faudrait. Il commença à caresser la photo de la jeune femme.
Psychologue – Sans vouloir vous vexer. Elle lui retira la photo des mains et la remit à sa place. Elle n’est pas à votre portée ! Donc… Elle le prit par le bras et l’emmena vers la porte de sortie. Nous nous verrons le mois prochain si vous avez besoin de moi Ozzie. Sur ce, au revoir !
Ozzie – Merci encore pour tout Mme Wildmore ! Merci infiniment !
Psychologue – Oui, c’est normal ! Puis elle ferma la porte et retourna à son bureau en lançant échapper entre ses dents le mot « abruti » puis s’assit sur son fauteuil pour prendre l’appel de sa fille. Oui ma chérie ?
Rebecca – Maman… il avait dit qu’il m’aimait… et moi je l’ai cru bien sûr ! La jeune femme était en pleurs au téléphone.
Mme Wildmore – Allons mon trésor c’est pas grave, respire bien à fond ! Il y a plein d’autres jeunes hommes !
Rebecca – Oh putain tu fais chier avec ton charabia de psy à la con maman ! Pleure. Y'a pleins de photos de moi sur le net !
Mme Wildmore – Quel genre de photos ?
Rebecca – Des photos de nu ! Qu’est-ce que tu crois !
Mme Wildmore – Oh mais c’est pas vrai ! Elle augmenta le ton de sa voix en lui criant dessus. Comment est-ce que tu peux être aussi débile Rebecca !
Rebecca – Il était si tendre… si charmant et… et il disait tout le temps que j’avais des jambes divines… qu’il adorait les photographier ! Et c’est là que tout a dérapé… Elle n’entendait plus rien à l’autre bout du fil. Maman ? … T’es toujours là ? Maman putain ! MAMAAAN !
Ozzie avait quitté l’étage où se trouvait le bureau de sa très chère psychologue, il mit une main dans sa poche, grand sourire aux lèvres après avoir mis ses lunettes de soleil sur son nez. Quand il entendit quelqu’un toquer sur la vitre d’en haut, il se retourna et vit la folle Mme Wildmore lui crier quelque chose.
Psychologue – Ozzie ! Tu vas le payer pour ce que tu lui as fait espèce de sale petite merde ! Est-ce que tu m’entends ? Ozzie ! Pour qui est-ce que tu te prends hein ? Espèce de vicieux ! …
Ozzie – Hein ? Je ne vous entends pas Mme Wildmore ! Il avait toujours un sourire aux lèvres quand une jeune femme s’approcha de lui.
Inconue – C’est qui cette folle ?
Ozzie – Je crois qu’elle aurait besoin de voir un psy ! Il rit en même temps que la jeune inconnue.
Psychologue – Ozzie ! Tu t’en sortiras pas comme ça nom d’un chien ! Elle continuait à taper sur les vitres mais voilà qu’une personne de la sécurité vint vers elle pour l’arrêter, elle se débattit du mieux qu’elle pût. Ozzie tu vas me le payer ! Tu m’entends ? Tu vas me le payer ! Ozzie se tourna vers la jeune inconnue.
Ozzie – Tu t’appelles comment ?
Inconue – Sophie.
Ozzie – Sophie ? C’est mignon… tu es belle. Elle passa une mèche rebelle derrière son visage tout en souriant timidement.
Inconue – Merci.
Ozzie – Aller viens je t’emmène déjeuner ! Et hop il lui prit la main et se dirigea vers la sortie tandis que l’autre folle continuait à crier comme une timbrée. Ce qu’il adorait Sao Paulo ! C’était la ville parfaite rencontrer des filles bêtes qui croyaient n’importe quoi comme Rebecca ou Sophie, ou sinon parfaite pour rencontrer la bonne ?! Il y en avait pour tous les goûts après tout ! Et dire que son père croirait qu’il s’était repris en main, devenant le fils modèle ! Ce qu’il était con ce paternel ! Il gobait tout que ce soit les mots de son meilleurs potes, son modèle dans la vie, ou de Bree, la mignonne petite fille de bonne famille. Les vieux ! Tous des cons fripés ! Ou pourrait-il bien emmener manger cette brunette qu’il ramènerait dans son lit une demi-heure plus tard ? Dans sa chambre ? Si son père le surprend avec elle, il se fera grillé, pourquoi pas la plage ? L’endroit préféré de Ozzie en plus, avec toutes ses filles en bikini, qui sait il en trouvera peut-être une autre pour les rejoindre tous les deux ! Après tout on est à Sao Paulo non ?

Hello I’m Stan, what’s up ? :gla:

Bienvenue !!!! Han Stan, j'ai beaucoup ce prenom, j'ai toujours dis que si j'avais un fils je l'appelerai comme ça ! Oui on s'en fout je sais XD

Welcome

Bon courage pour ta fiche bo goss :bave:

Maxi moi, je serais marraine de ton fils mdrrr Eum...

Heeeeeeeeeeeeeeeey ! Quelle surprise ! Je savais pas du tout que c'était toi ! :choké:

(Je fais bien la fille étonnée !)
Bon courage pour ta fiche... Saaaaaaaaaaaaaaandro (ouais, t'aimes pas !)

Dago : Merci dude ! Et ouais il gère mon prénom hein ? :love: :gla:

mdr Ton futur fils n'aurait que du succès dans l'avenir :superman:

Liloo : Merci jeune femme ! Belle avatar ! :drag:

Toi :

Même pas j'ai le droit à des coeurs ou plus Rolling Eyes

T'es reniée alors que je viens d'arriver ! (t'es une excellente comédienne ouais ! :love:)
NAAAAAAAAAAAAAAA' pas ce prénom

Mdr, il sera narcissique aussi apparemment ! loool

Bon courage pour ta fiche mec, faudra qu'on se trouve un bon lien pour chier la jolie blonde mouhaha !